Nombre Parcourir:0 auteur:Éditeur du site publier Temps: 2024-05-13 origine:Propulsé
Comment fonctionne un codeur incrémental
Le principe de fonctionnement du codeur incrémental repose principalement sur la conversion de la lumière en signaux électriques. Il se compose d'un disque de réseau circulaire, d'un dispositif électroluminescent (généralement une source de lumière infrarouge) et d'un ou plusieurs dispositifs sensibles à la lumière.
Le disque à râper est aligné avec le moteur, donc lorsque le moteur tourne, le disque à râper tourne également. Le dispositif électroluminescent éclaire le disque réseau, projetant son image sur l'élément photosensible.
Le disque à râper comporte des zones transparentes et opaques uniformément espacées. Lorsque le disque du réseau tourne, l'élément photosensible détecte la présence ou l'absence de lumière et génère un signal numérique. Un « 1 » représente la présence de lumière, tandis qu'un « 0 » représente l'absence de lumière. Ces signaux numériques indiquent le déplacement ou la vitesse du codeur.
En règle générale, les encodeurs incrémentiels produisent trois ensembles d'impulsions d'ondes carrées appelées phases A, B et Z. Les phases A et B ont une différence de phase de 90 °, permettant au système de déterminer la direction de rotation. L'impulsion en phase Z est générée une fois par révolution, servant de point de référence pour la mesure de la position et l'étalonnage. En calculant le nombre d'impulsions reçues, l'amplitude du déplacement peut être déterminée.
De plus, les encodeurs incrémentiels sont généralement utilisés en conjonction avec des compteurs et des circuits directionnels pour réaliser la discrimination de la direction de rotation et augmenter ou diminuer le nombre d'impulsions. Ce codeur convient aux applications qui nécessitent une haute précision et une fiabilité, telles que l'automatisation industrielle et la technologie de la robotique.
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